J’ai enfin reçu les résultats tant attendus de la biopsie !
En conclusion, l’environnement immunitaire n’explique donc
pas les échecs d’implantation à lui seul. Mais j’ai aussi un déficit de
prolifération endométrial, constaté à l’échographie ; et pour lequel, j’ai
un traitement depuis mi-octobre (3 mois à faire).
La médecin propose également une stratégie thérapeutique :
- S’assurer que l’endomètre soit bien à 8 mm lors de la phase lutéale après les 3 mois de traitement
- Une biopsie sur le cycle précédent la FIV, à J21
Sur le cycle de FIV :
- Appliquer une légère hyperstim lors du protocole (cad 225 ui contre 187,5 ui de gonal-f sur mes dernières stim)
- Des anti-inflammatoires dès J1
- Des antibiotiques à partir du déclenchement de l’ovulation
- TOCO500 matin et soir
- Un max de progestérone après le transfert
- Provamès 2mg matin et soir, voie orale
- Recherche d’un foyer infectieux
- Pas de rapport après le transfert ou protégé
J’ai eu la chance que la médecin se montre très disponible
pour répondre à mes multiples questions.
Elle m’a proposé de rencontrer le biologiste chez elle pour
décider si nous pourrions faire une FIV dans son centre. Les rendez-vous sont
donc pris chez le biologiste, chez elle, chez l’anesthésiste juste avant Noël.
Avons-nous nos chances en faisant une FIV chez eux ? Ce
sera l’objet de ces rendez-vous !
Une FIV sur Paris, ça signifie pas mal de contraintes et
galères d’organisation ! Qu’à cela ne tienne, je suis la reine de l’organisation !
Mais sous hormones, c’est quand même plus difficile…
A suivre !