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Une envie de pouponner...
Pour le moment, le sort s'acharne
... Les traitement et les FIV s'enchainent...
On rassemble nos forces, on essaie de garder espoir et on continue de se battre !

mercredi 17 mars 2010

Autre jour, autre resto…

Mais toujours de la viande à la carte !

Moi qui n’aime pas beaucoup la viande, me voilà encore servie ce soir au « Le fil à la une ».
Placé aux abords du pont neuf (ne vous méprenez pas, c’est le plus vieux pont de la ville !), on y jouit dès le printemps de merveilleux couchers de soleil, confortablement installé sur les quelques tables à l’extérieur.

Hier soir, malgré les premières douceurs printanières, nous nous sommes précipités à l’intérieur !

L’accueil est charmant, le patron est venu nous voir à 2 reprises, très à l’aise.
Nous avons eu droit à un « ça va les p’tits loups ? » très amical pour une première rencontre !



L’ambiance est très rétro, très bistrot. La déco est chaleureuse avec ses matériaux bruts, les objets bric-à-brac autour du bar et des coussins disséminés un peu partout. Des plaids blanc sont mêmes disponibles sur la plupart des chaises !
Au sous-sol, une belle cave toulousaine comme on les aime, repère idéal pour les amoureux. Quelques chaises Louis XV, une méridienne, des lumières tamisées, quelques bougies, et ça ne sent pas le renfermé, ce qui est rare ;-)


Coté assiette, une carte simple : quelques entrées, bavette ou entrecôte au poids, dessert. Quelques suggestions du jour s’ajoutent. La marée n’a pas permis une suggestion poisson hier soir, dommage pour moi !
Je me suis contentée de plusieurs entrées : ravioles à la roquette, brochette de gambas et fondue de poireaux, brochette de poulet au lard.
Quant aux 2 loulous qui m’accompagnaient, ils se sont régalés d’une bonne grosse bavette (et de la moitié des mes entrées…).

Les bouteilles de vin sont à prix raisonnable, et on ne paie que ce qu’on boit (il mesure ce qu’il reste dans la bouteille).
Du coup, j’ai été étonnée du prix du vin au verre…. A titre d’exemple : une demi bouteille de Corbière à 5 euros, alors qu’un verre est à 3,5 euros…

Les desserts sont fait maison, et à tomber par terre, et très bien présenté. Les hommes ont opté pour un moelleux au chocolat et un tiramisu, et moi pour un banofi (tarte sablée, bananes, confiture de lait, crème fouettée) : une tuerie :)
Le tiramisu n’était pas terrible : trop de biscuit, trop d’alcool.

Nous sommes rentrés l’estomac bien rempli !

En sortant, pour un autre dernier verre, vous pouvez faire quelques mètres et atterrir sur le trottoir du Filochard, repère incontournable des babas cool (étudiants ou pas) pour siroter une bière artisanale. Attention à ne pas vous faire écraser…

J’ai aimé : le cadre, les ravioles, l’accueil
J’ai pas aimé : encore de la viande, l’addition (pour ce petit resto)
Je reviendrai ? oui, à l’heure de l’apéro cet été
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8 commentaires:

  1. ah toulouse... que j'aime cette ville ! bisous

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  2. Alors, là, je me suis mise à baver devant mon écran.
    Miam

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  3. Tu me mets l'eau à la bouche...Tu devrais écrire un guide des restos toulousains, tu vends bien la sauce!

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  4. Mhhh tu nous met vraimment l'eau a la bouche !!
    Et bien dit donc vous arreter pas les resto ..vous avez bien raison ;)
    Bisous

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  5. Faut que j'arrête de lire tout ça, j'ai le ventre qui grougrouille à chaque fois!

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  6. ha sympa!
    ça a l'air bien
    on ne s'est pas fait un resto depuis bien longtemps tous les 2!
    biz

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  7. C'est vraie que l'ambiance décrite donne envie!! Et si les desserts sont faits maison !!

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  8. Rho cool!!!
    Ca a l'air sympa!!
    Je suis allée qque fois à Toulouse et même si je ne connais pas bien, j'adore cette ville pour sortir, faire la fête, c'est vraiment génial!
    bisous

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